Bonjour FX
Je me rends compte de l'importance des copies virtuelles. D'autres points importants m'aident à identifier mes erreurs..
Avec le book de Gilles, je passe de LR3 à LR4. Tout est à reprendre à zéro, car je n'arrivais pas à réaliser le caractère virtuel des affichages dans la bibliothèque, qui n'ont rien à voir avec l'affichage dans le finder.
Ma manie d'exporter était une imbécilité de ma part ..
Merci pour la clarté de ta mise au point.
Bien cordialement.
p.s: j'espère avoir bien renseigné mon profil
Bonsoir,
j'interviens, car je reconnais le discours de nombre de personnes qui se "confrontent" à Lightroom lourdement chargés de leurs acquis.
Je ne dis jamais à quiconque de leurs méthodes qu'elles sont imbéciles.
Il y a, devant cet outil hybride et encore inclassable, des habitudes, voire des certitudes, qui méritent simplement un lessivage énergique.
Des notions telles que le développement non destructif, dit "paramétrique", n'ont rien d'évident à intégrer, même si elles sont largement exposées dans les bouquins, dans les revues, sur des sites de haute tenue (il ne faut guère aller plus loin que le blog éponyme de ce forum pour être largement pourvu).
Je trouve ça normal, on déconstruit ce que l'on sait pour construire du nouveau.
Ce que je cherche à faire entendre aux membres du photo-club que je forme, c'est la nécessité d'abandonner l'attachement au stockage de tous les états intermédiaires de leurs images.
Visionner les images dans le Finder (l'explorateur de fichiers du Mac), c'est encore chercher à "avoir" ses photos sous la main.
Or, Lightroom nous affranchit totalement de cette obligation de fabriquer à chaque étape un objet représentatif de notre labeur.
La contrepartie est une certaine inquiétude, car tant qu'on n'a pas "matérialisé" sa photo sous forme de fichier, on ne sait pas où on en est.
Personnellement, je n'éprouve pas cette inquiétude, je me suis fait au virtuel en tombant dans le numérique.
Je gère les sauvegardes le plus méthodiquement possible.
Je ne sais pas si c'est clair, merci de votre lecture patiente.
C_Lucien