Il y a une chose qu'il faut savoir : on ne peut pas dire qu'un logiciel est fermé sous prétexte que son traitement Raw n'est pas compatible avec les logiciels d'autres marques. Si c'est le cas, tout le monde est fermé.
Ensuite, Lightroom trouve tout son sens dans un flux de travail au sein d'un écosystème Adobe : Photoshop, voire Premiere et InDesign. Cet écosystème et le "standard industriel" du monde de l'image et de la publication. Et contrairement à ce que pourraient croire de nombreuses personnes, les pros et experts ne sont pas intéressés par l'interopérabilité entre plusieurs dématriceurs. Ce qui les intéresse, c'est un flux de travail continu et compact, sans s'embêter avec 12000 logiciels différents. Et c'est bien pour ça qu'Adobe n'est pas pressée d'ouvrir son moteur de développement de fichiers Raw à des tiers. Et d'ailleurs pourquoi faire, puisque le g"ant californien a montré qu'il était capable de se débrouiller (corrections optiques, débruitage, etc).