Auteur Sujet: gestion des versions travails et originales  (Lu 33866 fois)

Zaphod

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Re : gestion des versions travails et originales
« Réponse #15 le: 06 novembre 2011 à 09:34 »
Moi je n'ai qu'un seul dossier.
Je gère l'avancement du workflow entre autres grace aux codes couleurs, et aux collections dynamiques.

Il manque une possibilité de donner des couleurs à des dossiers, pour que ça soit vraiment parfait.

Eric01

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Re : Re : gestion des versions travails et originales
« Réponse #16 le: 06 novembre 2011 à 09:42 »
Il manque une possibilité de donner des couleurs à des dossiers, pour que ça soit vraiment parfait.

Trés bonne idée !

Hors ligne Cyril

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Re : Re : gestion des versions travails et originales
« Réponse #17 le: 06 novembre 2011 à 21:28 »
Moi je n'ai qu'un seul dossier.
Je gère l'avancement du workflow entre autres grace aux codes couleurs, et aux collections dynamiques.

Il manque une possibilité de donner des couleurs à des dossiers, pour que ça soit vraiment parfait.

Voilà qui me conforte dans le choix d'un code de couleur dans LR.
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Hors ligne Gilles

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Re : gestion des versions travails et originales
« Réponse #18 le: 07 novembre 2011 à 08:11 »
Pour revenir au premier post, ma citation est pourtant claire : je stockais mes images sur un DD externe, ainsi que le catalogue, pour les partager facilement entre mon Mac à la maison et mon PC au travail. Et je fais une copie de sauvegarde des originaux à l'importation, sur un autre disque, et ces fichiers restent en dehors du catalogue.

Depuis, ma méthode a quelque peu changé mais je ne veux pas ajouter à la confusion.
Mon QI est tenace...

Hors ligne Gilles

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Re : gestion des versions travails et originales
« Réponse #19 le: 07 novembre 2011 à 08:19 »
Enfin, en ce qui concerne le DAM Book, je ne sais pas si tu as la VO ou la VF traduite par Volker Gilbert et moi-même, mais il est clair que je n'adhère pas forcément à certains concepts de l'auteur que je trouve bien lourds (celui des récipients avec les blu-ray, par ex).
Néanmoins, le bouquin apporte un grand nombre de connaissances intemporelles et universelles sur la gestion des fichiers, des métadonnées ainsi que la sauvegarde et l'archivage. Je reste plus circonspect sur le flux de travail lui-même.
Je connais bien Peter Krogh dans le sens où je suis souvent en contact avec lui, c'est un immense expert dans le domaine, mais son approche est assez décalée par rapport aux besoins du photographe lambda.
« Modifié: 08 novembre 2011 à 07:55 par Gilles »
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Hors ligne Cyril

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Re : Re : gestion des versions travails et originales
« Réponse #20 le: 07 novembre 2011 à 21:43 »
Enfin, en ce qui concerne le DAM Book, je ne sais pas si tu as la VO ou la VF traduite par Volker Gilbert et moi-même, mais il est clair que je n'adhère pas forcément à certains concepts de l'auteur que je trouvent bien lourds (celui des récipients avec les blu-ray, par ex).
Néanmoins, le bouquin apporte un grand nombre de connaissances intemporelles et universelles sur la gestion des fichiers, des métadonnées ainsi que la sauvegarde et l'archivage. Je reste plus circonspect sur le flux de travail lui-même.
Je connais bien Peter Krogh dans le sens où je suis souvent en contact avec lui, c'est un immense expert dans le domaine, mais son approche est assez décalée par rapport aux besoins du photographe lambda.

A la lecture des quelques passages que j'ai pu faire, avant de commencer ce vrai travail de lecture analytique, j'ai le même sentiment que toi.
L'approche des problématiques  que soulève l'auteur et ses solutions peuvent effectivement interpeler le lecteur et lui faire prendre conscience que la tâche est rude.
La version que j'ai acheté c'est la version VF que tu as co-traduite.

En ce qui concerne la seconde sauvegarde faite par LR, indépendante du catalogue, je trouve que c'est intéressant. Mais le renommage du dossier par lr  n'est pas en rapport avec ma structure de nom que j'ai adopté. Et cela est dommage
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Re : gestion des versions travails et originales
« Réponse #21 le: 08 novembre 2011 à 06:16 »
Je crois que ne comprends rien à ta manière de procéder tant elle me parait compliquée.
LR permet une simplification extrême, et surtout permet de se libérer de notre ancienne façon de travailler qui consistait à avoir des tonnes de doublons,  de copies différentes, sur des disques durs, toujours plus gros, avec des sauvegardes de plus en plus énormes, dans les quelles on finit par se mélanger les pinceaux et se planter.

Voici ma façon de procéder, simple, comme le fait le véritable fainéant.
1/ toutes mes images sont TOUJOURS vidées de la carte vers  leur emplacement définitif, le disque F : c'est le dossier "Originaux".(hiérarchie des dossiers et sous dossiers gardée).
2/Elles sont importées dans LR. (classées, cataloguées, ou même déplacées depuis LR).
3/ Dans LR, par le biais des collections, des copies virtuelles, des traitement multiples, je crée tous les "dossiers de travail" possibles et imaginables, toutes les versions possibles, sans surcharge des disques dur. (A moins d'un export, pour une impression, le web,etc). Tout est virtuel, et peut être classé d'une manière bien plus légère et subtile qu'avoir des stocks lourdingues d'images pesant un âne mort sur des disques durs encombrés. C'est même mieux que tout, puisqu'on peut modifier les images sans avoir le disque dur branché.
C'est donc LR, mon "dossier de travail".
4/Le catalogue, par défaut, s'inscrit en temps réel sur le disque C. Mais dans les préférences, on peut paramétrer, pour que le catalogue s'inscrive aussi dans le disque F. A coté du dossier "originaux". (Mais ce n'est pas utile, voir  en dessous le § 5.....)
5/On peut AUSSI paramétrer la sauvegarde de windows 7, (disque C, une fois par semaine), sur le disque F. Cette sauvegarde contient le système, et bien sur le Catalogue de LR, puisque par défaut enregistré sur C..................
6/En sauvegardant l'intégralité de F sur un disque dur appelé S, ( S, comme sauvegarde), avec sync back, synctoy ou n'importe quel logiciel de sauvegarde, on fait d'une pierre plusieurs coups.
On sauvegarde C, le système et les fichiers qu'il contient. On sauvegarde LR , le catalogue, donc tous les "dossiers de travail", et on sauvegarde tout le dossier "originaux", qui sont en dehors du catalogue. C'est pas beau la vie des animaux? 8)

QUESTION? et ceux ki zont pas  l'Aït Roum, comment ki font? L'export, mon bon monsieur, l'export....

« Modifié: 08 novembre 2011 à 11:53 par jipé49 »
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Re : Re : gestion des versions travails et originales
« Réponse #22 le: 08 novembre 2011 à 13:29 »
Je crois que ne comprends rien à ta manière de procéder tant elle me parait compliquée.
LR permet une simplification extrême, et surtout permet de se libérer de notre ancienne façon de travailler qui consistait à avoir des tonnes de doublons,  de copies différentes, sur des disques durs, toujours plus gros, avec des sauvegardes de plus en plus énormes, dans les quelles on finit par se mélanger les pinceaux et se planter.

Voici ma façon de procéder, simple, comme le fait le véritable fainéant.
1/ toutes mes images sont TOUJOURS vidées de la carte vers  leur emplacement définitif, le disque F : c'est le dossier "Originaux".(hiérarchie des dossiers et sous dossiers gardée).
2/Elles sont importées dans LR. (classées, cataloguées, ou même déplacées depuis LR).
3/ Dans LR, par le biais des collections, des copies virtuelles, des traitement multiples, je crée tous les "dossiers de travail" possibles et imaginables, toutes les versions possibles, sans surcharge des disques dur. (A moins d'un export, pour une impression, le web,etc). Tout est virtuel, et peut être classé d'une manière bien plus légère et subtile qu'avoir des stocks lourdingues d'images pesant un âne mort sur des disques durs encombrés. C'est même mieux que tout, puisqu'on peut modifier les images sans avoir le disque dur branché.
C'est donc LR, mon "dossier de travail".
4/Le catalogue, par défaut, s'inscrit en temps réel sur le disque C. Mais dans les préférences, on peut paramétrer, pour que le catalogue s'inscrive aussi dans le disque F. A coté du dossier "originaux". (Mais ce n'est pas utile, voir  en dessous le § 5.....)
5/On peut AUSSI paramétrer la sauvegarde de windows 7, (disque C, une fois par semaine), sur le disque F. Cette sauvegarde contient le système, et bien sur le Catalogue de LR, puisque par défaut enregistré sur C..................
6/En sauvegardant l'intégralité de F sur un disque dur appelé S, ( S, comme sauvegarde), avec sync back, synctoy ou n'importe quel logiciel de sauvegarde, on fait d'une pierre plusieurs coups.
On sauvegarde C, le système et les fichiers qu'il contient. On sauvegarde LR , le catalogue, donc tous les "dossiers de travail", et on sauvegarde tout le dossier "originaux", qui sont en dehors du catalogue. C'est pas beau la vie des animaux? 8)

QUESTION? et ceux ki zont pas  l'Aït Roum, comment ki font? L'export, mon bon monsieur, l'export....

Figure toi qu'aujourd'hui je fais comme toi, exactement pareil!
Tu ne comprends pas, essaie de me relire. ;)

Car Gilles et d'autres préconisent l'écriture des xmp. Hors comme je l'ai expliqué , je ne travail pas qu'en RAW (boitier oblige).
Donc je me répète, avec ton workflow (et le mien), je modifie l'entête des jpeg et ce n'est plus un fichier originale puisque je l'ai modifié.

Certes l'image est intacte, encore que la réécriture du fichier n'est pas corrompue cette image. C'est autre autre problème.

Donc si ton catalogue est ton espace de travail et que la liaison est directement reliée vers le dossier archive, tu imagines facilement que tes jpeg sont  en permanence modifiés au rythme de l'ajout de mots clé, etc. Et cela pose problème si tu sauvegardes ce dossier archive vers d'autres supports .

C'est pour cela que ce post a été écrit.
Pour répondre à cette question: Comment gérer les dossiers de travail et archive distinctement sans utiliser les système de réservoir comme le décrit Peter KROGH.

Pour rester simple, je ne vais plus écrire les xmp dans les jpeg. Je conserve seulement les fichiers sidecar. Car finalement , il n'y a que les produits Adobe qui exploitent pleinement les corrections écrites dans ces fichiers.

Pour finir, si toi et ceux qui ne shoot qu'en RAW, vos flux seront considérablement simplifiés. pour moi c'est pas le cas.

Et je ne parle pas de mon videur de carte, horriblement cher, qui m'impose un répertoire à chaque vidage pour chaque carte.
Je shoot souvent avec 3 appareils montés avec un grand angle, un télé et mon excellent compact pour les paysages. C'est plus lourd me direz vous mais je suis plus réactif et surtout plus besoin de changer mes objectifs sous la pluie, dans la foule ou  en plein vent.
Ce videur renomme  mes multis répertoires par un nom tiré par les cheveux.

Donc , tous les photographes n'ont pas les mêmes besoins, pas les mêmes façon de travailler, pas les mêmes contraintes et par conséquent , ils doivent adapter leur flux en conséquence. Car il n'y a pas de flux type, idéal.

J'espère que tu as compris que je voulais traiter cette question en étant le plus simple possible.

Bonne journée à toi.
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Re : gestion des versions travails et originales
« Réponse #23 le: 08 novembre 2011 à 16:24 »
C'est bien ce que je dis, je ne comprends pas.
Les XMP ne servent et ne sont écrits que pour les RAWS, pas pour les JPEG. Et je préconise AUSSI, (pour moi même, je ne veux influencer personne), l'écriture des XMP. Et d'ailleurs, il y a intérêt à le faire, sinon on perd tous les réglages qu'on a passé des heures à peaufiner.

Pour les JPEG:
Tu m'as mis le doute, du coup, je viens de faire l'essai : ben, oui, quand on modifie un JPEG dans LR, il reste tel qu'il a été pris dans le disque dur : pas modifié, nickel chrome. C'est le but. Les modifs ne sont apparentes que dans LR. (Bonne nouvelle, même pour les JPEG, LR n'est pas destructif). je peux donc me faire une collection de JPEG bigarrés dans LR, qui ne seront bigarrés que si je les exporte. :).Pour ce qui est d'écrire des mots clés qui enlèvent leur virginité aux JPEG, je m'en moque. Ce qui m'importe, c'est que l'aspect originel du JPEG le reste, sans modif de teinte ou quoique ce soit d'autre. Et contrairement à toi, ça ne me pose pas problème, au contraire, je suis bien content que les mots clés aient été rajoutés quelque part.(comme de toute façon, on n'y a pas accès de manière simple, ça ne me change pas grand chose quand je m'endors).
Mon videur de cartes écrit le nom des fichiers du boitier  sans les modifier.
Quant à mes boitiers, (2 5D MKII canon), sur un j'ai un 28-300mm, sur l'autre un 12-24mm ou un 100 macro. (Je sais, j'ai tous les vices, Canon et PC).......Là par contre, on pourrait avoir des séries d'images ayant les mêmes numéros, mais le risque statistique étant faible, je ne m'en suis pour l'instant pas préoccupé.( De toute façon, même si elles ont le même numéro, elles n'auront pas les mêmes mots clés). Sauvé!
Quant à la corruption des fichiers, j'ai du en voir un ou 2, 3 maxi. Sur 65 000, c'est peu et j'ai raté bien plus d'images avec le coup fatidique de "Full Card" ou de  "Battery empty" qu'avec la corruption des fichiers.....
 Comme tu as pu le lire au dessus, le disque d'archive, (même si ce n'est pas la pureté  virginale absolue), est quand même le SUPER disque d'archives, puisqu'il contient les raws, les jpegs, les xmp, les PSD générés par Photoshop, (ré importés dans LR), le catalogue et tout ce qui touche LR, (presets compris), plus la sauvegarde de mon système et de tous les fichiers  du disque C. Difficile de faire plus complet.
Et cette Super Archive est sauvegardée et placée ailleurs........OUF!
Puisque tu posais la question, c'est une  manière de bosser, il y en a d'autres. Mettre ses fichiers de travail sur le cloud, pour qu'ils soient accessibles n'importe où, par exemple....Utiliser Dropbox, ça peut se faire aussi.( Je le fais avec mon fils qui est en Australie).
« Modifié: 09 novembre 2011 à 06:08 par jipé49 »
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Re : Re : gestion des versions travails et originales
« Réponse #24 le: 08 novembre 2011 à 17:48 »
C'est bien ce que je dis, je ne comprends pas.
Les XMP ne servent et ne sont écrits que pour les RAWS, pas pour les JPEG. Et je préconise AUSSI, (pour moi même, je ne veux influencer personne), l'écriture des XMP. Et d'ailleurs, il y a intérêt à le faire, sinon on perd tous les réglages qu'on a passé des heures à peaufiner.


Les paramètres de réglage sont bien écrit pour les jpeg. Modifie un jpeg (passage en n&b) et écrit les paramètres dans l'en tête. Ouvre ce fichier dans bridge: il est en n&b. La taille du fichier a grossi. Donc les réglages ne sont pas qu'écrit que pour les RAWs.

L'intérêt de le faire? Garder tous ces réglages dans lesquels on a passé des heures à peaufiner? Mais le catalogue sert à quoi? D'autant plus que si tu a une stratégie de sauvegarde du catalogue, je ne vois pas le problème. C'est encore mieux: tu conserves les historiques, les codes couleurs, les collections, les copies virtuelles etc.
Le xmp n'est pas un vrai moyen de sauvegarde pour moi. C'est juste pour que Bridge et ACR puissent récupérer les réglages fait dans LR.


Pour les JPEG:
Tu m'as mis le doute, du coup, je viens de faire l'essai : ben, oui, quand on modifie un JPEG dans LR, il reste tel qu'il a été pris dans le disque dur : pas modifié, nickel chrome. C'est le but. Les modifs ne sont apparentes que dans LR. (Bonne nouvelle, même pour les JPEG, LR n'est pas destructif). je peux donc me faire une collection de JPEG bigarrés dans LR, qui ne seront bigarrés que si je les exporte. :).

Alors là, tu m'épates. Je sais pas comment tu t'y prends, mais chez moi pour ne pas modifier le jpeg , je dois décocher "Inclure les paramètres de développement dans les fichiers jpeg..."

Dans le cas contraire le fichier jpeg est modifié.


Mon videur de cartes écrit le nom des fichiers du boitier  sans les modifier.

Le mien non plus. C'est juste le container qui est renommé en un nomp bizarre

Quant à la corruption des fichiers, j'ai du en voir un ou 2, 3 maxi.

2 ou 3 ou même une seule image, je ne tolère pas mettre en place un flux laissant la place à ce genre de risque. Chacun son exigence! ;)

Comme tu as pu le lire au dessus, le disque d'archive, (même si ce n'est pas la pureté  virginale absolue), est quand même le SUPER disque d'archives, puisqu'il contient les raws, les jpegs, les xmp, les PSD générés par Photoshop, (ré importés dans LR), le catalogue et tout ce qui touche LR, (presets compris), plus la sauvegarde de mon système et de tous les fichiers  du disque C. Difficile de faire plus complet.
Et cette Super Archive est sauvegardée et placée ailleurs........OUF!

Il y a des gens qui considère qu'un original est un fichier issu de l'appareil photo. Toute modif, même un mot clé, une coordonnées GPS remettent en cause cette pureté virginale absolue. J'en fait parti.

Puisque tu posais la question, c'est une  manière de bosser, il y en a d'autres. Mettre ses fichiers de travail sur le cloud, pour qu'ils soient accessibles n'importe où, par exemple....Utiliser Dropbox, ça peut se faire aussi.

Ça c'est un autre aspect: La gestion des sauvegardes dans un environnement réseau. Je ne l'ai pas évoqué car cet aspect ne répondait pas à cette problématique de gestion de jpeg qui, chez toi semble, miraculeusement  intacts.

Pour finir, je suis vraiment perplexe que tu dises avoir vérifié et que tu penses que les paramètres de réglage ne soient pas placé dans le jpeg.
N'aurais je rien compris à LR?
 
« Modifié: 08 novembre 2011 à 17:51 par lawre51 »
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Re : gestion des versions travails et originales
« Réponse #25 le: 08 novembre 2011 à 18:08 »
Bon regarde ce que j'ai trouve ici: http://help.adobe.com/fr_FR/Lightroom/3.0/Using/WS638E3AC9-A04C-4445-A0D3-F7D8BA5CDE37.html

<<Les métadonnées constituent un ensemble d’informations normalisées sur une photo, telles que le nom de l’auteur, la résolution, l’espace colorimétrique, le copyright et les mots-clés appliqués à la photo. Par exemple, la plupart des appareils photo numérique associent des informations de base sur les fichiers, telles que les dimensions, le format et l’heure de capture. Lightroom prend également en charge les informations standard développées par IPTC (International Press Telecommunications Council) pour identifier le texte et les images transmis. Cette norme comporte des entrées contenant les informations suivantes : descriptions, mots-clés, catégories, auteurs/remerciements et sources. Les métadonnées permettent de rationaliser votre flux de production et d’organiser vos fichiers.

Les informations sur le fichier sont stockées au format XMP (Extensible Metadata Platform). La norme XMP repose sur le langage XML. En ce qui concerne les fichiers Camera Raw utilisant un format de fichier propriétaire, les données XMP ne sont pas enregistrées dans les fichiers d’origine. Pour éviter la corruption des fichiers, les métadonnées XMP sont stockées dans un fichier distinct appelé fichier annexe. Quant aux autres formats de fichier pris en charge par Lightroom (JPEG, TIFF, PSD et DNG), les métadonnées XMP sont enregistrées dans les fichiers, à l’emplacement que vous indiquez. XMP facilite les échanges de métadonnées entre les applications Adobe et les déroulements de travail d’édition. Par exemple, il est possible d’enregistrer des métadonnées d’un fichier comme modèle et importer ainsi ces métadonnées dans d’autres fichiers.

Les métadonnées stockées dans d’autres formats, tels qu’EXIF, IPTC (IIM) et TIFF, sont synchronisées et décrites en XMP pour faciliter leur affichage et leur gestion.
>>


Il est préciser ici: http://help.adobe.com/fr_FR/Lightroom/3.0/Using/WSBED0E080-63AF-4ba4-ACCF-EC48C4F92D6D.html

<<Inclure les paramètres de développement dans les métadonnées dans les fichiers JPEG, TIFF et PSD
    Désélectionnez cette option pour ne pas inclure les paramètres du module Développement dans les métadonnées XMP des fichiers JPEG, TIFF et PSD.>>

On parle bien des paramètres du module développement, pas seulement les mots clé....

Voilà excuse moi d'insister mais je voulais que l'on soit sur la même longueur d'onde, que l'on parle de la même chose à paramètres identiques.
« Modifié: 08 novembre 2011 à 18:15 par lawre51 »
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Re : gestion des versions travails et originales
« Réponse #26 le: 08 novembre 2011 à 18:17 »
Pour finir, je suis vraiment perplexe que tu dises avoir vérifié et que tu penses que les paramètres de réglage ne soient pas placé dans le jpeg.
N'aurais je rien compris à LR?
 


En tout cas, ça ne modifie pas l'aspect du JPEG original.
Essaye : Tu prends un jpeg, tu le tortures dans LR et par un clic droit : "afficher dans l'explorateur", regarde s'il a été modifié.
Alors???
« Modifié: 08 novembre 2011 à 18:22 par jipé49 »
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Re : gestion des versions travails et originales
« Réponse #27 le: 08 novembre 2011 à 18:32 »
Non ça ne modifie pas l'image elle même puisque pour le faire il faut exporter. Mais le fichier l'est!
Mais l'explorateur ne sais pas interpréter les xmp dans les jpeg en dehors des mots clé et notation.
Essaie avec bridge ou ACR si tu les as. Et tu verras!

Je t'assure ça modifie ton fichier, mais pour le voir il faut un autre produit Adobe.
Regarde les poids en octet tu auras un indice.
« Modifié: 08 novembre 2011 à 18:34 par lawre51 »
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Re : gestion des versions travails et originales
« Réponse #28 le: 08 novembre 2011 à 18:46 »
J'utilise LR, je ne vois pas l'intérêt d'utiliser bridge, surtout pour voir ma photo modifiée, car c'est justement ce que je ne veux pas.
Ce qui m'intéresse, c'est d'avoir l'image telle qu'elle était au départ. Qu'elle ait pris du poids, qu'elle ait changé dans Bridge, tu as raison, MAIS je m'en moque. La base de LR, pour moi, c'est de ne pas toucher à  l'aspect visuel de l'image de départ. Si tel était le cas, évidemment ça me poserait des problèmes, et le coté pratique de LR perdrait TOTALEMENT de son intérêt, puisque je serais obligé de me lancer dans des manipulations casse-machins, genre la sodomisation des mouches. Ce que l'on faisait avant l'apparition de LR.
Que ça rajoute des positions GPS, c'est encore mieux, les images deviennent visibles dans GOOGLE EARTH. Mon copain MOMO, a pu retrouver tous le endroits de notre voyage en Islande.
En attendant, le fichier modifié me convient parfaitement puisque ça ne se voit pas.

Soi dit en passant, le GPS est un avantage  de NIKON sur CANON, mais hélas, je suis un client captif.......
« Modifié: 09 novembre 2011 à 06:11 par jipé49 »
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Re : gestion des versions travails et originales
« Réponse #29 le: 08 novembre 2011 à 18:59 »
Bon et bien n'empêche que toi tu parles de l'image et moi du fichier.

Si tu lis ce que dis Adobe:<< Pour éviter la corruption des fichiers, les métadonnées XMP sont stockées dans un fichier distinct appelé fichier annexe>> cela signifie qu'il faut mettre en place une stratégie supplémentaire afin de vérifier les nouveaux fichiers afin de déceler une éventuelle corruption. La corruption c'est pas moi qui l'affirme c'est Adobe ...et toi puisque tu as eu 2 ou 3  images foutues.

Donc moi ça me gène, car le workflow s'en trouve complexifié.... Au début, quand je suis arrivé sur ce forum, il y a quelques semaines, j'avais acquit que les paramètres de réglage dans les jpeg n'étaient pas gênant puisque réversibles.

Mais en construisant mon workflow, j'ai réfléchi à tout cela. Et ça me gonfle je te l'avoue.

Car je ne veux pas voir modifier quoique ce soit dans mes originaux.
Pourquoi? Car si les paramètres de réglages inscrit dans le jpeg sont réversibles, dans 10 ans, qu'en sera t-il? La lecture des corrections dans le XMP n'est pas adopté par tout le monde. Alors si Adobe change de route, on fera quoi avec ces saloperies non exploitables dans le fichier. Et si ça risque de faire beugger les futures logiciels? 

Je dois trop me prendre la tête! Mais j'ai un but: Construire un flux solide c'est à dire capable d'évoluer avec les nouveaux outils sans qu'il s'effondre lorsque les standards auront changé. Car ils changeront. Cela a toujours été ainsi.
« Modifié: 08 novembre 2011 à 19:07 par lawre51 »
Le partage est une grande richesse
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