Oui, c'est une façon de faire.
Seulement sur ce forum, Gille et d'autres préconisent exactement le contraire!
Ce qui m'embête dans ta méthode c'est que si j'applique juste quelques mots clé à la photo sans les ajouter au fichier, je perds tout le potentiel de trie dans Bridge par exemple.
Et cela me parait bête de faire deux versions d'un même fichier juste pour quelques mots clé! Idem pour la géolocalisation.
Je sais que la règle est de ne pas travailler sur des originaux, alors expliquez moi à quoi sert l'option "écrire des métadonnées dans les fichiers JPEG..."
Puisque si je suis le workflow décrit par Gille, j'importe depuis l'appareil vers le pc avec LR (option créer une copie activé). Dans ce cas je devrais manuellement dupliquer mes dossiers afin de conserver mes originaux.
J'avoue que cette histoire de corruption me laisse sans voix car en choisissant un flux de travail non destructif, je dois pouvoir garantir une certaine intégrité!
Si vous travaillez avec bridge où autre pour le triage, effectivement, il faut écrire les métadonnées dans/avec le fichier.
S'il existe une option "écrire des métadonnées dans les fichiers JPEG...", c'est qu'il y a deux possibilité écrire où ne pas écrire, si la vérité universelle était d’écrire impérativement les métadonnées dans le fichier, cette option n’existerai pas. La méthode que je décris est expliquée dans le DAM book, l’auteur explique les avantages et les inconvénients des deux méthodes. C’est juste une question de choix et d’organisation du flux de travail, rien n’est imposé.
Pour tout fichiers qu'on enregistre sur un dique dur, il y a un risque de corruption, pour diverses raisons, clusters disque défectueux, coupure de courant, bug, une défragmentation qui se fait mal,... et quand les métadonnées sont enregistrées dans le fichier, c'est le fichiers complet qui est réécrit sur le DD, si a ce moment là survient un pb disque (ce qui est rare!), vous ne vous en rendrez même pas compte, vous allez faire vos sauvegardes, mais en fait vous allez sauvegarder un fichier défectueux. C'est pour cela que les logiciels de synchronisation sont là, ils copient les données de A vers B, puis il vérifient les données de B en les comparant à A, parce que l'écriture sur disque dur n'est pas à 100% fiable.Donc, dans votre cas, si A est corrompu, B va l'être aussi, puisque B est la copie A.
Sans faire de pub, les problèmes de corruption de fichier sont aussi décrit dans le DAM book (co-traduit par Gilles notament)
Votre méthode est bonne, il suffit juste de vérifier l'intégrité de vos fichiers avec DDP pour Canon, ViewNX où CNX2 pour les Nikonistes, où toutes autres visioneuses qui lit les données brut du RAW (attention, les données BRUT, pas l'aperçu).
Cordialement
Eric