Tout est dans la sémantique du mot normal.
Il est effet dans la norme de désigner une taille d'image en pixels quand le dispositif d'affichage est un écran.
Mais on peut imaginer des applications où on veut exploiter l'image exportée en donnant sa taille en cm.
Par exemple dans une application de muséographie ou l'affichage se ferait sur un dispositif tête-haute (ça parlera à Gilles) à grande échelle. On pourrait superposer une photo à un site réel situé derrière ce dispositif. Dans ce cas là, le concepteur dirait qu'il faudrait demander à un visiteur de se placer à un endroit précis pour vivre cette expérience de réalité augmentée, et il sortirait son théorème de Thalès pour dire quelle taille en centimètres devrait avoir l'image. La résolution du dispositif d'affichage serait connue.
C'est un exemple complètement délirant, je vous l'accorde. D'autant plus qu'avec un tel dispositif, l'effet de l'accentuation serait peu probant. Mais je voulais simplement dire que l'exploitation de la résolution pourrait avoir du sens (si on laisse la possibilité de préciser la taille en centimètres, comme dans Photoshop).