Faire du JPEG revient à faire de la diapositive. Le moindre écart d'exposition n'est pas toléré, il faut donc être juste à la prise de vue, mais avec de l'expérience, ça ne pose aucun problème. Il y a même des cas où on n'a pas d'autres choix que de shooter en JPEG, ça m'est arrivé en vacances, par exemple, parce que j'arrivais à la fin de la carte mémoire, que je n'avais pas de réserve et qu'il fallait tenir jusqu'au soir pour vider les cartes sur l'ordi. Eh bien ça ne m'a posé aucun problème !
Par contre, il est clair que je vais me pencher un peu plus sur le flux Raw+JPEG et shooter de cette manière pendant un certain temps pour voir comment je m'en sors au niveau gestion des images, même si je reste convaincu qu'il s'agit des derniers soubresauts d'une méthode qui trouvait sa justification aux débuts du numérique, lorsque les convertisseurs Raw étaient d'affreuses usines à gaz.