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Messages - Kaufmann

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Flux des images / Mémos vocaux Fuji
« le: 01 juin 2017 à 12:02 »
Depuis le dernière maj Fuji pour X-T2 et X-Pro2, il est possible d'enregistrer des mémos vocaux sur les fichiers, dès la prise de vue. Je peux les écouter sans problème en affichant le fichier sur l'appareil. En revanche, je ne sais pas comment les écouter sous Lightroom6. Quelqu'un connait-il la procédure.

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Depuis que je suis sur LR6, j'ai constaté que les touches "Aperçu" et "Lecture" du module Diaporama étaient inopérantes. Et ceci quelque soit l'option choisie : Toutes les photos, Toutes les photos sélectionnées... Comment y remédier ?

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Il était courant de lire à propos des RAF du Fuji X-T1 (et X-Pro1...) que Lightroom était mal adapté à leur dérawtisation. Et qu'il valait mieux utiliser d'autres logiciels (Iridient, Rawtherapee...). Qu'en est-il des RAF du Fuji X-T2 et du Fuji X-Pro2. Des utilisateurs ont-ils une expérience à partager. Personnellement je trouve que LR6 développe mieux, mais je remarque encore des artefacts (effet spagettis).

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Je suis passé de LR5 à LR6. Sous LR5 tout fonctionnait parfaitement. Sous LR6 (MAJ 6.9 faite), il est impossible de démarrer un Aperçu et une Lecture dans le module Diaporama. Autres bug (qui semble courant en parcourant les forums) dans le module Bibiothèque : la touche x (photo marquée comme rejetée) est inopérante. Et quand on sélectionne plusieurs photos et qu'on appuie sur la touche Retour (pour supprimer), seule celle affichée peut être supprimée. Alors que dans le module Développement, il n'y a pas ces bugs.

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La photo évoquée dans ma réponse :

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Il y a deux manières de voir les choses correspondant à deux problèmes :
- La question soulevée par Roland concerne la conservation des fichiers dans le temps court, celui du créateur des photographies, qui gère sa photothèque à des fins personnelles. Là, il faut évidemment suivre l'évolution du matériel (logiciels, formats, connectique...)... afin de continuer à développer, améliorer, gérer (IPTC...).
- L'autre question, évoquée par Michel, concerne la transmission des photographies aux futures générations. Là il est très aléatoire de transmettre des DD, des DVD ou autres (Cloud...). Comme Michel je réalise des petits albums, à l'image de ceux que j'ai reçu de mes parents qui les avaient eux-même reçus des leurs, et ainsi de suite. Y figurent des photographies datant de la fin du 19eme siècle (1885...). L'intérêt de ces supports "matérialisés", c'est qu'une générations ou deux, ou plus, peut ne pas s'en occuper. Ils resteront toujours lisibles, même altérés. Dans mon cas, il y a aussi les collections complètes des négatifs, d'un grand intérêt car les auteurs de ces images faisaient une sélection avant de faire tirer, suivant les critères de l'époque, leurs goûts. Or dans ces négatifs il y a maintenant des sujets qui à l'époque ne représentaient pas un grand intérêt, alors qu'aujourd'hui ils sont précieux pour la connaissance historique.
Je crains que nous ayons dérivé par rapport au sujet de ce fil. C'est aussi le charme des forums.
Photo jointe : les Halles à la fin du 19eme siècle. Y figurent mon arrière grand-mère qui tient ma grand-mère par la main.

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Il y a deux manières de voir les choses correspondant à deux problèmes :
- La question soulevée par Roland concerne la conservation des fichiers dans le temps court, celui du créateur des photographies, qui gère sa photothèque à des fins personnelles. Là, il fa

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La réflexion concernant les archives sont passionnantes, et pour moi essentielle. Mais sans doute est-ce hors-sujet par rapport au fil de ce forum.
Pour ma part, mais je suis un "ancien", la seule manière de transmettre aux futures générations, ce n'est ni le Raw, ni le Jpeg, ni aucun autre format. C'est de réaliser à partir d'un fichier corrigé au mieux un tirage, car celui-ci sera lu par les yeux de nos descendants, alors que les fichiers nécessiteront des machines et des logiciels qui auront depuis longtemps disparus ou trop évoluer. Quant à transformer les fichiers au fur et à mesure de l'apparition de nouveaux formats, je n'y crois pas, car il y aura forcément un moment ou un de nos descendants ne fera rien pendant 10 ou 20 ans.
J'ai la chance d'avoir hérité de négatifs (plus de 5000) moyen-format réalisés par mes arrière grand-parents et mes grand-parents. Ils ont été conservés dans des petites boîtes en métal (généralement des boîtes de biscuits). Je suis en train de les numériser (Fuji X-T2 avec 60mm macro, c'est très rapides et d'une qualité à couper le souffle). Ensuite j'édite chez PhotoService des petits livres avec une sélection des plus intéressantes, bien sûr légendées. La qualité est excellente. Je confierai un exemplaire à chacun de mes enfants (2) et petit-enfants (7), et les négatifs à celui qui me semblera le plus capable de les conserver et de les transmettre à son tour. Entre les auteurs des photos et moi, il y a eu une puis deux générations. Ils ont fait le plus important : les transmettre, même si ils ne s'y sont pas intéressé.
Je vous encourage à faire de même. Si vous avez des tirages, un simple scanner à plat est grandement suffisant. Pour les négatifs, le même scanner est très bien à partir du moyen-format. Pour du 24x36, il vaut mieux un scanner dédié, ou bien un appareil photo.

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Que ce soit en Jpeg, en Tiff ou en DNG, les dimensions des fichiers 24 MP restent toujours 6000x4000.
Si je sauvegarde en Jpeg, c'est pour économiser de l'espace (environ 12 Mo au lieu de 25 en DNG). En Tiff c'est le contraire, je passe de 25 Mo à 120 Mo.
Le sujet de ma question est l'économie d'espace de stockage. La question de l'éventuel traitement futur en est une autre, elle ne concerne pas ce type de photographies documentaires.

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Les Tiffs sont extrêmement encombrants, j'ai deux années de fichiers X-T1 (15 000) et je travaille maintenant en X-T2.
Ces Jpeg n'ont pas vocation à être modifiés. Les fichiers de sujets susceptibles d'être corrigés une nouvelle fois ne sont pas concernés, je les conserve évidemment à côté des versions Jpeg.

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C'est ce que je comptais faire. Merci quand même pour le conseil.  :)

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Merci encore à Michel pour sa réponse claire à la question posée.
En revanche sur le sujet de l'espace requis pour conserver des DNG (ou des Raw) par rapport à des Jpeg, c'est une question d'appréciation personnelle. Il ne s'agit pas que de coût, il s'agit pour moi de ne pas multiplier des DD extérieurs 2 To. D'autre part sécuriser le travail de développement (merci de bien lire ma question initiale), ainsi que les IPTC est pour moi fondamental, pas seulement pour demain mais pour après-demain. Devoir reprendre 50 000 ou 100 000 fichiers pour les développer à nouveau n'est pas envisageable. Qu'Adobe existe dans 20 ans ou 30 ans ou pas, personne ne peut répondre. Personne ne connait l'avenir.

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Cela m'est également arrivé et il m'a fallu aussi reprendre les fichiers un par un en revenant sur l'historique.
Puis j'ai cherché une méthode pour remédier à ce problème, la voici, j'espère qu'elle répondra au votre. Elle présente l'avantage de s'appliquer à des fichiers sur lesquels on a appliqué d'autres réglages après ce réglage"par lot" :

Si par exemple j'ai appliqué une correction d'exposition (ou autre...) à un lot de fichiers et que je souhaite revenir dessus pour tous ou une partie d'entre eux, je sélectionne tous (ou une partie) de ces fichiers, et je double-clique sur Exposition. Cela annule la modification pour tous ces fichiers.
Bien cordialement.

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Merci Michel,
Réponse claire, en effet je n'avais pas lu cette ligne dans Exporter. C'est beaucoup plus simple.
La réponse à ta question se trouve dans ma question initiale : gain de place, et aussi pour sécuriser en cas de plantage général de mon catalogue, y compris backups. Ou bien à l'avenir si Lightroom disparait et que j'ai un problème avec mon catalogue, tout mon développement ainsi que les IPTC disparaitront avec et ce serait une catastrophe. Je ne conserverai le DNG que pour les photos particulières, celles qui peuvent faire l'objet à l'avenir d'un développement très différent (je pense à celles qui figurent dans mon site dans la collection Stanislas : www.hervechampollionphotographi.fr. Pour toutes les photos "documentaires" (l'essentiel de mon travail : paysages, reportage d'illustration...), lorsque j'ai bien développé les fichiers je ne reviendrai pas dessus, ou à la marge.

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Souhaitant exporter mes fichiers DNG en Jpeg pour les réimporter ensuite dans le catalogue et ensuite détruire les DNG afin d'une part de gagner 50% de place sur mon disque dur, et aussi sécuriser le développement et les métadonnées (notamment les IPTC que j'enrichis systématiquement et très complètement) en cas de crash du catalogue (et/ou de disparition de Lightroom), j'ai fait un essai en exportant donc en Jpeg un fichier DNG vers le dossier d'origine. Puis je l'ai réimporté et je me suis rendu compte que les IPTC avaient disparus.
J'ai consulté l'Aide en ligne de Lightroom et en effet ils indiquent que l'export des Métadonnées d'un fichier DNG est impossible (voir fichier joint copie d'écran). J'ai recommencé l'opération en regardant de près les options à l'importation. Et là je me rends compte que j'avais coché à droite dans le panneau "Appliquer pendant l'importation" un paramètre personnel dans Métadonnées qui laissait vides les IPTC. Il faut cocher "Sans". Ainsi lors de l'import de ce fichier Jpeg, toutes les métadonnées (incluant évidemment les fameux IPTC) sont bien présentes.
D'autre part lorsque l'on exporte en Jpeg un fichier DNG et qu'on l'ouvre ensuite sous Photoshop, les métadonnées (et donc les IPTC) sont bien lisibles sous Information.
Quelqu'un peut-il expliquer pourquoi "Aide" de Lightroom indique que c'est impossible ? Sans doute quelque chose m'a-t-il échappé.

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