Bonjour à tous,
Je pense que vous préparez tous les fêtes de fin d’année mais, si vous avez le temps, je vous invite à lire ou à voir les pages suivantes.
Sur le site de la DxO Academy, vous trouverez un tutoriel que j’ai réalisé sur les moyens de faire cohabiter Lightroom (ou Aperture) et DxO Optics Pro. Ça n’est pas facile puisqu’il faut contourner un certain nombre d’obstacles, sans parler de la sortie du flux Raw, ou de l’incompatibilité des moteurs de dématriçage qui fait que les corrections de l’un ne peuvent être vus dans l’autre. Profitez-en également pour jeter un oeil aux différents tutoriels et vidéos réalisés par Christophe Gressin ou moi-même en collaboration avec DxO Labs.
Dans le dernier hors-série Spécial Optique (actuellement en kiosque) du Monde de la Photo, vous trouverez un article de 4 pages sur la correction optique logicielle avec Lightroom et DxO Optics Pro, largement basé sur des interviews que j’ai menés avec Eric Chan, Chief Scientist chez Adobe, Frédéric Guichard et Laurent Prost, respectivement Directeur scientifique et Directeur produits chez DxO Labs. Nous y abordons les différentes approches quant à la correction optique logicielle ainsi que l’impact sur la qualité des objectifs : permet-elle de se passer d’optiques haut de gamme coûteuses ? La réponse est une simple question de bon sens mais sachez que dans la plupart des smartphones et dans les compacts et hybrides récents, la correction optique logicielle est systématique, y compris sur les fichiers raw, et que ces informations sont codées dans les métadonnées, ce qui permet à Lightroom, par exemple, d’effectuer des corrections automatiques sans que vous le sachiez, y compris sur des fichiers raw, comme dans les boîtiers. Et cela vaut mieux, quand on sait que la distorsion sur les objectifs livrés avec ces familles d’appareils peut aller jusqu’à… 20 %.
Le premier numéro 2014 du Monde de la Photo (n°62 janvier-février 2014) propose, entre les nombreux articles habituels (notamment le test de l’étonnant Sigma 24-105 mm f/4 DG OS HSM), présente également,comme toujours, deux de mes tutoriels, l’un consacré au nouvel outil d’exportation de DxO Optics Pro 9, qui remplace avantageusement l’ex-onglet Traiter, balourd et encombrant, l’autre étant un retour aux fondamentaux de Lightroom avec un point sur l’interface de la version 5, qui apporte quelques petits changements.
Si vous vous baladez sur le site MDLP, profitez-en pour lire la chronique de mon livre Lightroom 5 par la pratique, livre qui cartonne et qui est d’ores et déjà en réimpression. Je n’ai pas fait le tour des chroniques publiées ces derniers mois, mais les critiques sont en général excellentes ce qui me conforte, une fois de plus, dans l’idée que l’approche didactique élaborée par mon éditrice et moi-même est la bonne. Par contre, je ne revendique ni ne cautionne les appellations du style maître Yoda de Lr, ou coach ou que sais-je. Je ne fais que mon boulot, et cette manière d’écrire a été fortement influencée par mon précédent métier, qui consistait à développer et écrire des procédures de maintenance aéronautique.
Sachez également que la trêve de Noël devrait s’achever dès le début du mois de janvier avec l’arrivée du sixième numéro de WorkFlow, qui continue son petit bonhomme de chemin. J’y ai contribué à hauteur de 18 pages, mais il est trop tôt pour dévoiler le sommaire.
En attendant, je me suis lancé dans la traduction d’un ouvrage sur un réflex numérique, pour lequel j’attends d’ailleurs, ce matin, un exemplaire en prêt de la part du fabricant, ainsi qu’un boîtier d’acquisition vidéo pour faire des captures des menus de l’écran LCD, photographier l’écran étant, à mon avis, à exclure totalement si on veut des résultats de qualité. Ensuite, fin janvier, je pars chez Video2Brain pour enregistrer de nouvelles vidéos sur deux logiciels – là encore, il est trop tôt pour donner plus de détails, concurrence oblige Enfin, en rentrant, je me collerai à la rédaction d’un projet très demandé par vous, chers lecteurs. Mais il ne s’agit pas de Lightroom 6… pas encore.
Passez de bonnes fêtes et à bientôt,
Gilles.